Belle découverte sur le blog de Jonathan Menet, de cet illustrateur japonais, Avogado6 qui nous donne à voir des scènes mélancoliques, sombre et quelques fois dures.
Critique sans fard de notre humanité.
Belle découverte sur le blog de Jonathan Menet, de cet illustrateur japonais, Avogado6 qui nous donne à voir des scènes mélancoliques, sombre et quelques fois dures.
Critique sans fard de notre humanité.
Voilà, c’est reparti pour une nouvelle série 5/10 min.
Cette fois, cinq déclinaisons d’une couverture d’un livre que j’ai beaucoup aimé, même si cela fait un moment que je ne l’ai pas relu.
J’avais l’impression, partagée par quelques critiques et collègues, de me trouver devant un nouveau « Bonjour tristesse », mais qui aurait été écrit en 2009.
Couverture origniale en grand format:
4e de couverture de l’éditeur:
«Sur un transat, il mange un esquimau. Le chocolat fond autour de sa bouche, il s’en met partout. On dirait du sang séché. Le ciel est de la même couleur que le soleil. Ce matin, on a braqué le minibar. Augustin voulait qu’on célèbre son départ. L’air a une vague odeur de jasmin. Je suis sûr que c’est le produit d’entretien. Il se lève pour aller commander quelque chose au restaurant, de l’autre côté de la piscine. Je l’observe. De longs palmiers bougent lentement derrière lui. Graphique. Il plonge dans l’eau. Il disparaît quelques secondes, puis il réapparaît. Il revient, il se rallonge sur son transat. Je regarde les parasols kitch, jaunes et rouges, et je pense que ce serait vraiment beau de les voir tous s’envoler en même temps.»
Sacha Sperling a dix-huit ans. Il signe ici son premier roman ».
Ce sont des variations, avec comme contraintes, la même présentation pour les textes.
Les images proviennent du génial site unplash. Banque d’images libre de droits, avec autorisation d’usage commercial et de modification. Aucune obligation de mentionner les crédits.
La série 5/10
crédit photographiques: koichi-nakajima
crédit photographiques: tom-sodoge
crédit photographiques: nathan-dumlao
crédit photographiques: hannah-busing
crédit photographiques:
[immeuble: samuel-zeller]
[dalles transparentes: john-robert-marasigan]
[Scène d’intérieur: atilla-taskiran]
[sneakers: joanna-nix]
[homme volant: shane-rounce]
Mise en page: ©coderaptor – Graphic Design
OK, il y a encore du travail de kerning à faire sur le titre, mais c’est la loi de l’excercie. Ne pas dépasser les 10 minutes.
C’est le métier qui entre ou qu’est-ce ???
Fasciné par la série Mr. Robot lien…
j’étais intrigué par la nouvelle campagne de communication d’HP, sur le thème de la sécurité des imprimantes en réseau. Le protagoniste, et hacker-cracker du premier épisode de cette consumer-tv-show, n’est autre que Christian Slater, qui joue un rôle clef dans Mr. Robot.
Bien sûr il n’est question que de vanter la robuste sécurité des produits et des solutions HP, mais quand même.
Même si on part du principe que beaucoup de nos data sont déjà en ligne et accessibles, que de part leur insignifiance, elles ne peuvent intéresser personne, il faut craindre d’être un relais, un pont.
Juridiquement, il sera difficile de prouver en cas de problème, que son ordinateur n’aura été qu’un point de passage.
Vie privée, sécurité et big data, voilà les vrais enjeux.
Protègons-nous.
et hop, une petite bande annonce
… c’est pour bientôt.
Quels sont les enjeux ? Les risques ?
L’auteur des technothrillers géniaux que sont Daemon et Freedom, nous donne son point de vue,
Ça fait froid dans le dos.
Ses deux romans (cités plus haut) sont admirablement construits. Un récit à la fois effrayant et encourageant.
J’ajouterais aussi à ces lectures, le roman en deux tomes de Wilson: Robopocalypse et Robogenesys. Ils sont effrayants et encourageants, cependant.
Absolument wookidien, une nouvelle merveille. Je n’irais pas voir le film, qui semble trop violent pour moi. Mais j’ai tellement écouté en boucle cette chanson à Berlin, dans les avions, les métros et les trains.
Trop bien